votre journal en téléchargement ici
La ficelle a perdu son père. André Bordet est mort le 27
octobre. Il était aussi mon père.
Quand j’ai créé ce journal, en 2008, il a tout de suite décidé
de m’accompagner. Discret les premières années, il s’est
progressivement impliqué dans le magazine. Il était à la fois le
soutien, le gérant, le relecteur, le comptable, l’ambassadeur.
Toute la famille s’est investie à son tour. La ficelle est devenue
une entreprise familiale.
Nous nous sommes souvent disputés : faut il un papier
brillant ou mat ? Faut il sortir un numéro en janvier ? Où doit
on distribuer le journal ?
Mais l’avantage d’une société familiale, c’est que les disputes
font partie de la vie et que nous arrivions toujours à trouver un
compromis.
Dans les derniers jours de sa vie, il savait que c’était la fin, mais
il voulait à tout prix finir la comptabilité de La ficelle et trouver
des gens de confiance pour prendre sa suite dans les aspects
économiques et comptables de La ficelle. Il ne pouvait pas
partir sans savoir que tout était en ordre.
Il va être difficile pour l’équipe de La ficelle de se relever de cette
absence. Mais nous allons faire face à cette année terrible.
Merci papa
14 novembre 2020
Je remercie ce Monsieur qui s’est tant dévoué pour élabore cette revue si proche de nous. Nous lui devons tous beaucoup de reconnaissance. Une vie bien remplie.
19 février 2021
Toute ma sympathie (tardive) pour vous et votre famille. S’il vous plait, poursuivez votre oeuvre patrimoniale si nécessaire en ces temps INCERTAINs.